Mercato : Victor Gyökeres fait le point sur son avenir
Interrogé sur d’éventuelles retrouvailles cet hiver à Manchester United avec son ancien coach, Ruben Amorim, Victor Gyökeres a fermé la porte à un départ.
Victor Gyökeres a faim de buts. Que ce soit lorsqu’il défend les couleurs du Sporting Lisbonne ou avec le maillot de sa sélection nationale sur le dos, le joueur de 26 ans ne laisse que très peu de chances aux gardiens adverses. Fer de lance du secteur offensif de la formation lisboète, club avec lequel il enfile les réalisations comme des perles depuis le début de la saison, l’avant-centre se montre en effet tout aussi clinique avec la Suède, en témoigne sa nouvelle performance probante réalisée le week-end dernier face à la Slovaquie.
Auteur de la première réalisation de la partie au bout de trois petites minutes de jeu, Victor Gyökeres a en effet grandement contribué au succès des siens à l’occasion de la cinquième journée de Ligue des Nations (2-1). Lui qui a inscrit pas moins de 28 réalisations en 23 rencontres toutes compétitions confondues avec le Sporting Lisbonne cette saison a d’ailleurs été invité à se prononcer sur son avenir au sortir de ce match international. Annoncé sur les tablettes de Manchester United, le club qui vient d’enregistrer la venue de son désormais ancien coach en terres lisboètes, Ruben Amorim, le Suédois a mis fin aux rumeurs.
Priorité au Sporting CP
“C'est très triste qu'Amorim parte, mais nous comprenons sa décision. Il signifiait beaucoup pour moi, car il m'a donné l'opportunité et m'a fait beaucoup grandir”, a dans un premier temps relevé Victor Gyökeres, avant d’écarter toute possibilité de départ cet hiver afin de le rejoindre dans le Nord de l’Angleterre. “Il a déjà plusieurs attaquants là-bas, donc nous verrons. Mais ce n'est pas une chose à laquelle je pense. Évidemment, je veux jouer toute la saison avec le Sporting et je me sens bien là-bas, donc je ne suis pas pressé de déménager. Nous verrons le moment venu”, a-t-il conclu en zone mixte. Pas de retrouvailles entre les deux compères cet hiver donc. Quid de l’été prochain ?