Luis Rubiales ne compte rien lâcher et veut gagner son combat contre Jennifer Hermoso. Démissionnaire de son poste de président de la Fédération espagnole de football le 10 septembre dernier, Rubiales a décidé de se défendre à nouveau dans l'affaire du baiser à l'attaquante espagnole. Se lâchant complètement lors de la remise du trophée de la Coupe du monde féminine, remportée par la Roja face à l'Angleterre, celui qui était alors encore président de la RFEF avait décidé d'embrasser Hermoso sur la bouche. Mais l'attaquante de la Roja avait assuré que ce baiser n'était pas consenti et qu'elle s'était senti mal à l'aise. Cela avait fait un tollé en Espagne et depuis plusieurs semaines, Rubiales est dans le viseur de nombreuses personnes. Hermoso ayant décidé de porter plainte, il peut risquer gros en justice étant donné qu'un baiser forcé peut être considéré comme une agression sexuelle. Mais alors que ses ennuis semblent ne faire que commencer, Rubiales a décidé d'accorder une interview au journaliste Piers Morgan et il s'est défendu fermement dedans, avec des propos dingues.

Rubiales se défend avec force 

"Il n'y a eu aucun préjudice, aucun contenu sexuel, aucune agression, rien de tout cela. La signification du baiser pour Jenni aurait été exactement la même que celle d'un baiser pour l'une de mes filles. Entre amis et famille, c'est très, très courant", a confié l'ancien président de la RFEF, qui admet cependant qu'il "aurait dû agir de manière plus solennelle, froide et diplomatique". Mais Rubiales ne semble pas très inquiet pour la suite, confiant : "J'ai pleinement confiance que la vérité éclatera et que tout ira bien. Regardez mon visage, je suis un gars bien." Mais la justice pourrait penser autrement et condamner l'ancien président du football espagnol, qui continue donc d'utiliser une défense assez dingue.