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Un ancien entraîneur de Ligue 1 sous le feu des critiques dans une grosse cylindrée européenne
Le match nul contre le promu du Genoa (2-2) n'aura pas calmé les premières critiques sur l'entraîneur français du Napoli, Rudi Garcia, bien au contraire.
L'entraîneur qui succéderait à Luciano Spalletti sur le banc du Napoli allait devoir soutenir la pression, obtenir de gros résultats et proposer un jeu aussi léché que son prédécesseur. C'est un ancien coach de Ligue 1 qui a pris la tête du Napoli, Rudi Garcia. S'il connaît bien le championnat italien après son passage à la Roma, sa nomination en avait surpris plus d'un dans l'hexagone, étant donné sa période mitigée avec les deux olympiques. Luciano Spalletti, son prédécesseur avait fait du Napoli une équipe au jeu magnifique et redoutable, mais surtout, il avait ramené un titre de champion d'Italie à Naples, chose qui n'était plus arrivée depuis les années Maradona.
Le destructeur du travail de Spalletti ?
Après un début de championnat satisfaisant en ce qui concerne les résultats, Naples ce samedi n'a pu accrocher qu'un match nul presque miraculeux (2-2), alors qu'Osimhen et ses coéquipiers étaient menés 2-0 sur la pelouse du promu Genoa, samedi, lors de la quatrième journée de Serie A. C'est le jeu collectif qui inquiète supporters et observateurs. Sur la toile, l'entraîneur est déjà désigné comme responsable de "détruire le travail de Spalletti." Nostalgique du jeu proposé par le Napoli de Spalletti, un suiveur du club critique le côté trop prévisible et basé sur les individualités du jeu actuel de Naples "Le ballon monte jusqu'à Osimhen et on voit ce qui se passe, on passe à Kvara et on attend de lui qu'il dribble 3 joueurs. Tactiquement, rien n'est mis en place."
Naples est 4e avec sept points et cinq longueurs de retard sur l'Inter, le leader. Rien d'alarmant jusque-là, mais avec le retour de la phase de poules de la Ligue des champions, le Napoli va devoir enchaîner un match tous les trois jours.