Le coup de gueule de Caillot
Jean-Pierre Caillot, le président du Stade de Reims, l'avait mauvaise après l'arbitre après le match nul concédé face à Lille (1-1). La faute à un penalty non sifflé dans le temps additionnel.
L’instauration de la VAR en Ligue 1 n’aura pas mis un terme aux polémiques liées à l’arbitrage. Bien au contraire. Nouvel exemple ce week-end à l’occasion du choc entre Reims et Lille (1-1). La faute notamment à une main d’Adama Soumaoro dans le temps additionnel. Une main jugée involontaire par Jérôme Brisard, l’arbitre de la rencontre, comme par l’arbitre vidéo, qui n’a même pas jugé utile d’alerter son collègue.
Une décision qui n’a pas manqué de provoquer la colère des Rémois en en particulier de leur président Jean-Pierre Caillot. "Je vais être obligé, comme certains présidents, de dire qu’il y a deux sortes d’arbitrage en France, a ainsi pesté le dirigeant champenois au micro de beIN SPORTS à l’issue de la rencontre. Déjà au match aller, toute la France a vu qu’il n’y avait pas penalty. Lille a égalisé à la 95e minute sur un penalty imaginaire. On nous a demandé beaucoup d’argent pour le VAR, pour former l’arbitrage. C’est inadmissible qu’il n’y ait pas un penalty sifflé là-dessus !"