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US Open : Mannarino a "encore de la bouffe de samedi soir sur le bureau"
Parmi les difficultés inattendues de la condition de reclus pour les joueurs de l'US Open, il faut refaire son lit et jeter ses restes de nourriture ! Le témoignage d'Adrian Mannarino éclaire aussi
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Adrian Mannarino a expliqué la vie cloîtré dans sa chambre, dans la bulle de New York à l'occasion de l'US Open, puisqu'il a lui aussi côtoyé Benoit Paire (testé positif, avant d'être déclaré négatif) : "On respecte les règles à fond et la sécurité de tous, les femmes de ménage n'ont pas accès à nos chambres. Il faut refaire son lit, on retourne aux bases. C'est le bordel. Sans doute que pour Paire aussi. Au bout de quinze minutes dans une chambre, il y a des affaires partout. J'ai encore de la bouffe de samedi soir sur le bureau. C'est particulier. On nous laisse les draps et les serviettes à l'extérieur de la chambre. Refaire nous-même notre lit, ce n'est pas ce qu'il y a de plus compliqué non plus, on devrait s'en sortir. Mais s'il y a trop de laisser-aller, on peut vite retomber dans une chambre d'ado."
Mannarino, qualifié pour le troisième tour après sa victoire face à Jack Sock mercredi, affrontera Alexander Zverev pour tenter l'exploit. Il révèle l'existence d'un groupe WhatsApp avec ses potes, Richard Gasquet, Edouard Roger-Vasselin, Grégoire Barrère et donc Paire (ainsi que tous leurs staffs) : "On s'envoie des conneries, ça nous aide à garder le moral. On est plutôt de bonne humeur, les journées ne sont pas interminables. On est encore dans le tournoi, on fait au mieux pour passer le temps. Pour Kristina Mladenovic, c'est différent. Pour ma part, on a tellement l'habitude de vivre dans nos chambres d'hôtel, ça ne me dérange pas plus que ça... On savait que ce serait différent et qu'on ne pourrait pas profiter de Manhattan."