FC Barcelone : Pochettino ne dit plus non
Actuellement en quête d'un nouveau défi, Mauricio Pochettino s'est montré moins opposé que par le passé à propos d'un futur au FC Barcelone.
Mauricio Pochettino ouvre la porte au Barça. Sans club depuis son licenciement en novembre 2019, l'Argentin cherche à rebondir cet été et semble être prêt à revenir sur certaines de ses déclarations. En effet, dans un entretien à El Pais, le natif de Murphy a évoqué un possible futur au FC Barcelone. « A l’époque, j’avais passé cinq minutes avec Bartomeu (président du Barça) dans un bar et nous nous étions salués car nos enfants allaient au même établissement scolaire. Cela avait généré des rumeurs importantes auxquelles j’avais répondu par cette formule. Je ne voulais pas manquer de respect à Barcelone. Je peux le dire d’une façon différente : à l’Espanyol je me suis fait un nom. Mais je ne suis pas arrogant et je n’aime pas faire ce genre de déclarations. Peut-être qu’aujourd’hui je ne dirais pas la même chose car dans la vie on ne sait jamais ce qu’il peut se passer », explique notamment Pochettino.
« L'envie ? Elle n'a jamais disparue »
La formule en question qu'il mentionne ? Des propos qui datent de janvier 2018. « Je ne serai jamais l'entraîneur du Barça ou d’Arsenal car je suis très lié à l’Espanyol et à Tottenham. J’ai grandi à Newell’s et je n’entraînerai jamais le Rosario Central. Je préfère travailler dans ma ferme en Argentine qu’aller entraîner certains clubs », avait-il déclaré à l'époque en conférence de presse. Depuis, la donne a donc bien changé, car il veut rebondir et vite. « L'envie ? Elle n'a jamais disparue. Dès le jour où tu arrêtes de travailler, tu as envie d'être devant un joueur. C'est ton essence. Et nous sommes (lui et son adjoint Jesus Pérez, ndlr) plus proches de trouver un nouveau projet, confie d'ailleurs Pochettino. Il s'agit de trouver un club, un président ou des personnes qui adhèrent aux idées que nous avons et qui, selon nous, peuvent vous rapprocher de la réussite. Lorsque cette offre sera faite, nous dirons tous oui. »