L'équipe de France était rentrée de Rio avec six médailles, dont deux en or
A en croire le tabloïd britannique The Guardian, ces premiers éléments donneraient à voir au grand jour combien la France mais également l’Ouzbékistan auraient bénéficié d’un traitement de faveur hors-normes cette année-là à Rio, où Estelle Mossely-Yoka, l’épouse de Tony Yoka, était également montée sur la plus haute marche du podium (en poids légers), tandis que Sarah Ourahmoune (argent en poids mouches), Sofiane Oumiha (argent en poids légers), Souleymane Cissokho (bronze en poids welters) et Mathieu Bauderlique (bronze en poids mi-lourds) étaient eux aussi rentrés du Brésil avec une médaille autour du cou, l’équipe de France en totalisant six au total lors de ces Jeux ayant ensuite amené Richard McLaren à enquêter. Une investigation menée notamment sur demande de l'Association internationale de boxe amateur (AIBA) en raison des "fortes suspicions" pesant à l’époque à l'encontre du directeur exécutif de l’instance le… Français Karim Bouzidi. A trois jours de la fin de ces JO 2016, Bouzidi avait d’ailleurs été écarté, au même titre quelques mois plus tard que les 36 juges et arbitres ayant officié durant ce tournoi olympique qui pourrait amener l’AIBA à notamment inverser le résultat de la finale entre Yoka et Joyce et à retirer son titre olympique à « l’Artiste ».